Est-ce que je deviendrai plutôt receveur ou donneur ?
La probabilité d’avoir besoin un jour d’une transplantation d’organes est cinq à six fois supérieure à celle de devenir donneur post mortem. Ce nombre ressort d’une étude canadienne (Shemie et al. 2011) et il peut aussi s’appliquer à la Suisse.
La question du don d’organes arrive généralement à l’improviste. La décision – pour ou contre un don d’organes et de tissus apporte sécurité et clarté aux proches du défunt.